020 - l’Homme nouveau Pour que l’Homme nouveau bénéficie de l’intelligence nouvelle lui permettant de voir les choses telles qu’elles sont, il doit se libérer de la pensée cartésienne, afin de puiser dans le réservoir infini de la pensée universelle, d’où il lui est possible de comprendre de façon simple et de façon précise les rapports éventuels qui doivent exister entre l’Homme, l’esprit de l’Homme et l’esprit de l’intelligence, et des intelligences qui dirigent l’évolution dans tous les systèmes. L’Homme de la Terre, à cause de ses antécédents, à cause de son lien puissant avec l’émotionnel, n’a jamais pu partager les secrets des intelligences supérieures. Parce que ces secrets étaient régis par des lois qui devaient maintenir l’Homme dans une certaine ignorance, jusqu’au jour où, pouvant se libérer de son émotivité, de la subjectivité de sa pensée, il puisse retenir parfaitement la qualité de la vibration agissant à l’intérieur d’une forme mentale dénuée d’émotivité et non sujette à l’approbation psychologique de la pensée humaine. Ce jour est arrivé, et l’Homme de l’avenir pourra concevoir avec grande facilité, et interpréter avec grande agilité, les principes fondamentaux de l’organisation psychique de son humanité, ainsi que les principes fondamentaux qui déterminent le développement des civilisations supérieures extraterrestres. Un des piliers de la doctrine secrète de l’avenir est assis sur une conception très vaste de la réalité psychologique de l’Homme. Et cette conception, qui n’a de limite que dans la mesure où l’Homme se refuse avec son intelligence d’accepter la possibilité d’une si vaste organisation, d’une si vaste puissance d’organisation créative, ne pourra soulager que les esprits les plus enclins à recevoir ce qu’il n’est plus possible de cacher. Ainsi, il nous est possible, aujourd’hui sur cette planète, d’affirmer que la nature-même de l’intelligence est en proportion égale à la quantité de lumière qui existe dans le cosmos. Ceci impliquant que toute la lumière du cosmos, réunie et manifestée différemment sur les plans de ce dernier, constitue ce que nous appelons « l’intelligence de l’univers ». Cette intelligence n’a qu’un but, celui de préserver l’harmonie entre tous les plans, entre toutes les planètes et entre tous les règnes de ces planètes. L’intelligence universelle est puissamment axée sur le principe d’harmonisation, qui doit se concrétiser dans TOUT ce qui constitue l’univers créé. L’Homme en tant qu’être évolutionnaire, doit un jour comprendre la loi de l’intelligence afin de préserver sur sa planète les formes de vie qui ont été créées et les formes de vie qui doivent évoluer vers une destinée connue d’un certain nombre d’êtres, mais inconnue de la plupart. L’inconscience de l’Homme, la créativité de l’Homme issue de cette inconscience, ne fait donc pas partie de l’intelligence positive, mais de l’intelligence négative de l’univers. La compréhension de ceci est importante, car elle permet à un ego évolué, à un être sensible, à un être capable de percevoir les vibrations de l’âme, de se dissocier de l’énergie créée par la pensée humaine subjective, et de s’associer vibratoirement à une énergie autre, à une énergie qui n’est pas conditionnée par la tradition, par l’histoire, par l’opinion, par l’influence, mais véhiculée des plus hautes sphères d’évolution vers l’Homme représentant les sphères basses de cette évolution, mais néanmoins sphères très importantes à cette évolution. Tant que l’ego humain est rassasié des illusions de son intelligence, il lui est impossible de percevoir le voile qui le sépare de l’intelligence universelle. Il lui est impossible de concevoir l’existence de ce voile, et de pénétrer par le fait-même dans le rayonnement parfait, équilibré, et harmonisant de l’intelligence universelle. L’Homme de demain, l’Homme qui servira de fondation à l’érection d’une souche humaine nouvelle, sera le premier à reconnaître que l’intelligence n’est pas humaine en soi, mais que l’Homme est un canal qui doit recevoir l’énergie universelle d’un principe qui détermine l’orientation de toute activité créative dans l’univers. Et c’est à partir de ce point, dans l’évolution de l’humanité, qu’il sera possible à l’Homme de devenir, une fois pour toutes, indépendant de toute forme de pensée personnelle afin de pouvoir recevoir, diriger, instruire, dans un mode de créativité libéré de toute forme subjective, imparfaite, liée à la personnalité aveugle des sens humains. Les sens de l’Homme sont foncièrement imperméables à la réalité, et pour cette raison son intelligence est foncièrement limitée par ses sens. Tant que la personnalité de l’Homme n’est pas altérée par la nature-même dont il voit les choses, et que son ego n’est pas élevé à une fréquence vibratoire supérieure à celle dictée par la personnalité, il lui est impossible de travailler directement avec des intelligences qui poursuivent sur d’autres plans, des fonctions plus vastes, plus totales et de haute perfection. Cependant, l’Homme arrive dans un avenir rapproché à rejoindre, enfin, ces intelligences qui œuvrent sur des plans supérieurs à lui-même, mais tout de même des plans qui lui sont possiblement visibles. Et une fois que l’Homme a atteint le pouvoir de cette visibilité, il lui est alors impossible de regarder en arrière. Car tout ce qui est devant lui, toute l’infinité des possibilités créatives de l’intelligence universelle, fondent dans son esprit un siège de puissance créative qu’il n’a jamais reconnu que dans les très profondes et silencieuses aventures de son âme. Mais un jour, l’âme humaine doit devenir une réalité pour l’Homme. Son pouvoir doit devenir, une fois pour toutes, réalisable à travers sa volonté. Et son potentiel inépuisable doit aussi être reconnu par l’ego de l’Homme, dont la manifestation dans la matière, ou sur les sous-plans rapprochés de cette matière, doit exercer sur lui l’impression finale de l’infinité. L’Homme a évolué pendant des siècles, des millénaires, à l’intérieur d’une sphère très vaste, cousue de fond en comble de toutes formes possibles et imaginables de mensonge. De mensonge voulu selon le plan de la destinée de la race humaine, mais néanmoins de mensonge de demi-vérité. Et l’Homme de demain doit finalement reconnaître en lui-même le pouvoir d’accès à la réalité, pouvoir qui lui donnera la capacité de voir le TOUT et de le comprendre d’une façon totale. La pensée humaine est tellement emprisonnée dans une énergie liée directement avec l’émotion subjective de l’expérience de l’Homme, que cette pensée est devenue incapable aujourd’hui de remplacer même la faible lueur de son intuition. Cette pensée a perdu le pouvoir de cristalliser en elle-même le moindre noyau de la réalité. L’intuition de l’Homme a perdu sa puissance, a perdu sa capacité de pénétrer l’esprit de l’Homme. De sorte que ce dernier est maintenant à la merci de ses sens, et son intelligence à la merci de sa propre limite. L’Homme de demain pourra et devra converser avec très grande facilité avec d’autres êtres évoluant sur d’autres plans ou sur d’autres planètes. Mais avant que ce travail, que cette évolution, ne commence à porter ses fruits, l’Homme qui sera le pionnier de ces communications, de ces conversations à longue distance dans un cosmos infini, sera le premier à souffrir de la perturbation causée par la rencontre,entre un esprit qui n’est pas le sien et un esprit qui lui appartient. Et de cette rencontre entre ces deux esprits sortira une nouvelle vibration, une nouvelle vibration qui engendrera dans l’ego de l’Homme un pouvoir de connaître, un pouvoir de reconnaître, et un pouvoir de pénétration dans les plus grands secrets de l’universel. Tant que l’Homme n’aura pas réalisé que les moindres desseins de son esprit subjectif, que les moindres contemplations de sa pensée personnelle, reflètent des formes puissantes d’énergie émotive, des formes puissantes d’énergie subjective, il lui sera impossible de comprendre que derrière le voile de sa pensée s’érige la cathédrale immense du savoir et de la connaissance. Il ne s’agit plus pour l’humanité, pour l’Homme de demain, de regarder derrière lui. Il ne s’agit plus pour l’humanité de contempler ce qu’elle a déjà essayé de comprendre. Il s’agit pour l’Homme de demain de revenir, une fois pour toutes, dans son pays natal, c’est-à-dire dans son esprit véritable, c’est-à-dire encore une fois dans l’esprit qui est en lui, et non dans l’esprit qui a été imprimé en lui. La tâche n’est pas facile et le fardeau est totalement individuel. Aucun Homme ne peut vivre pour un autre Homme le contact avec les sphères. Ce contact est personnel et doit s’acheminer selon la capacité vibratoire, énergétique, de chaque individu. Mais, ce contact implique un principe fondamental, celui de réaliser que l’Homme est avant tout Surhomme. Que l’Homme est avant tout plus grand que ce qu’il a manifesté jusqu’à aujourd’hui. Que l’Homme est avant tout un être puissamment relié aux forces de la lumière, puissamment relié aux forces qui dirigent l’évolution, pourvu qu’il connaisse la nature de son âme, et qu’il puisse avec grande facilité pénétrer dans l’énergie de cette réalité personnelle à lui-même. La Terre ne peut plus attendre, les Hommes doivent ouvrir un nouveau chemin, les Hommes doivent comprendre des choses totalement nouvelles. Les Hommes doivent aller vers un devenir qui n’appartient plus au désir d’émancipation de leur ego, mais qui fait partie de la totalité, qui fait partie de la réalité, et qui est déjà connu sur des plans supérieurs, selon le passé, le présent ou l’avenir. L’Homme ne peut plus s’inquiéter, il doit pouvoir pénétrer de plus en plus dans cette énergie, afin de réaliser le plein potentiel de son être et voir la vision totale de son avenir. Autant demain sera difficile pour l’humanité, autant demain sera facile pour une autre partie de cette humanité. Et la condition absolue de cette différence dans le mode de vie résidera dans la capacité individuelle de l’Homme d’être en contact intelligent, vibratoire, avec les forces dirigeantes de l’évolution qui s’occupent à la fois de sa destinée et de sa création. L’être humain ne peut plus vivre une vie assujettie à la domination de la forme imposée par une société aveugle, décadente, et une civilisation mourante. L’être humain ne peut plus être asservi à des conditions de pensée qui ne servent plus l’Homme, l’individu et la société, mais desservent à la fois l’individu et cette société. La préservation de l’Homme, la préservation de la planète, la préservation de la vie, n’est pas conditionnée par le vouloir ou le pouvoir de l’Homme, mais conditionnée par les forces dirigeantes de l’évolution, par les forces de la lumière. Et ces forces deviendront de plus en plus puissantes. Et toute contrainte, tout effort contre ces forces s’avérera inutile car la matière, le corps, est issu de l’esprit. Comprendre que l’intelligence ne vient pas de l’Homme n’est pas facile à l’Homme, car l’Homme a conçu la nature de l’intelligence, a conçu la nature de son intelligence. Et la conception de son intelligence n’est pas une conception terminale, mais bien une conception transitoire qui découle de la nature,même de son ego, de la limitation même de son esprit, et de l’incapacité de vivre au niveau de l’ego et de la personnalité dans le rayonnement total et parfait de l’âme. Bien que l’Homme n’y soit pour rien dans cette condition, bien que l’Homme ne soit pas responsable, cosmiquement parlant, de cette condition, la condition a été vécue par lui, développée par lui, et sa gestion depuis le début de l’histoire réfléchit en lui. Il ne s’agit plus de rationaliser le pourquoi de l’involution, mais de bien réaliser l’avenir de l’évolution, et le début sur cette planète, d’une pénétration de plus en plus puissante d’énergie vibratoire qui doit détruire les formes de la pensée humaine, c’est-à-dire la fondation de la pensée subjective, afin de libérer enfin l’esprit de l’Homme et lui permettre éventuellement de connaître ce que veut dire le mot « esprit », le mot « invisible », le mot « infini », le mot « lumière », le mot « dieu », le mot « âme ». C’est-à-dire tout ce que, sur notre planète, nous avons considéré depuis le début comme étant essentiel à toute survie au-delà de la matière. Ce n’est plus par le biais de la pensée philosophique, quelle que soit sa qualité, sa couleur, que l’Homme pourra découvrir ce qui est devant lui, mais bien par la perception directe du mouvement de l’esprit sur les différents plans de l’évolution, par le mouvement de l’esprit à l’intérieur même des fondations de la création. L’Homme possède devant lui une map très vaste, un chemin infini, et un pouvoir dont il n’a aucune idée. Autant la vie a été pour lui, par le passé, une expérience matérielle, autant la vie demain sera pour lui une expérience au-delà des sens, au-delà de la matière, mais directement liée aux sens et à la matière. Si les principautés n’ont pas voulu dévoiler à l’Homme les facettes absurdes de ses conceptions, c’était pour lui permettre de développer les outils nécessaires qui devaient un jour lui servir à reconquérir ce qui lui avait été retenu. Nous savons aujourd’hui que rien ne sera exigé de l’Homme que l’ouverture totale de son esprit. Mais nous savons aussi que cette exigence sera totale car le contact entre l’esprit de l’Homme et l’infinité de l’invisible est un contact qui nécessite un équilibre parfait entre son mental et son émotif. Et c’est de cette condition remplie dans tous ses aspects que sortira l’Homme nouveau, l’Homme de la sixième race racine, l’Homme de demain. Autant le temps sert à conditionner l’Homme, autant ce dernier sert à le déconditionner lorsqu’il a commencé à réaliser l’impotence de ses illusions vis-à-vis de la réalité ou la réalisation éventuelle de la nature vibratoire de son être. Et lorsqu’il a saisi cette nature vibratoire, lorsqu’il a commencé à comprendre les natures qu’opère la vibration en lui, il est sur le chemin qui le mène inexorablement vers le développement total de lui-même, c’est-à-dire vers le contact visuel, intelligent, avec l’invisible. Et c’est de ce contact avec l’invisible qu’il comprend que le secret retenu par les intelligences des plans supérieurs au-dessus de sa tête, pendant des millénaires, était un secret dont il fallait retenir la réalité ou la réalisation, parce qu’on ne peut donner à un enfant quelque chose dont il ne comprend pas la puissance. Et tant que l’Homme était enfant, tant que l’humanité était encore au stage primitif de son évolution, il ne s’agissait pas de mettre entre ses mains des connaissances qui ne pouvaient que la desservir. Un Homme qui reconnaît l’illusion de l’intelligence humaine commence déjà à pénétrer le secret de la réalité. Un Homme qui commence à réaliser l’illusion de la pensée subjective commence déjà à comprendre l’infinité de la pensée universelle. Le temps devient alors le juge de son évolution possible et aussi le juge de son développement partiel ou total. Un jour, l’Homme sera forcé de reconnaître que les intelligences qui, dans le passé, ont sommé chez lui une reconnaissance, soit religieuse, ou mystique, étaient en fait des êtres tels que lui, mais sujets à des conditions beaucoup plus élevées et beaucoup plus parfaites de l’évolution. Toute émotion liée à l’existence, à la prestance, au service de ces êtres, est une émotion purement humaine qui ne peut engendrer chez l’Homme qu’une façon primitive de voir les choses. Tant que l’Homme devait croire, l’Homme ne pouvait savoir. Car toute croyance, quel que soit son but, quelle que soit sa valeur, engendre dans l’Homme une responsabilité vis-à-vis de ce qu’il croit. Et cette responsabilité est fondée dans un lien émotif le liant lui-même à la société dont il partage le lien. Lorsqu’en fait tout Homme invité à participer avec l’infinité des couloirs vastes de la connaissance doit retrouver en lui-même la grande solitude et observer en lui-même que la réalité dont il connaît les aspects ne peut servir qu’à organiser socialement les liens entre les Hommes. Mais comme la société de l’Homme devait être développée, devait s’harmoniser de plus en plus, les croyances devenaient nécessaires. Mais maintenant que l’Homme entre dans un cycle nouveau où l’individualité, où l’universalité, doit prôner sur toutes les formes possibles d’organisation sociale, il deviendra essentiel à l’Homme de voir qu’en lui une flamme le lie à l’universel, au cosmique, et que cette flamme, par son produit créatif, peut engendrer, sur un plan matériel, des conditions de vie et d’existence harmonieuses pouvant permettre la réorganisation d’une société, selon des principes totalement nouveaux et totalement séparés de la vie psychologique de l’individu, ou de la tradition sociale dans laquelle cet individu a pris naissance. Autrement dit, nous avançons que l’Homme de demain, l’individu, celui qui entrera en contact vibratoire avec les forces de l’invisible, saura reconnaître ceux qui sont sur la même voie d’évolution, et saura aussi reconnaître ceux qui vont dans une direction opposée. Et tout en maintenant un équilibre avec les Hommes, il saura créer un équilibre nouveau sur des plans, qui ne seront pas visibles à l’Homme dont l’intelligence est encore aveuglée par la raison, par la forme, par la tradition. Mais cette connaissance doit être avancée aujourd’hui, car demain elle sera comprise. Elle doit être avancée aujourd’hui, parce que ceux à qui elle est destinée sont prêts à la sentir, à la percevoir, demain ils seront prêts à la comprendre. Il ne s’agit plus pour l’Homme d’interpréter, il s’agit pour lui de recevoir et d’être capable de recevoir sans interprétation, afin que l’énergie, la vibration de ce qu’il reçoit, pénètre là où elle doit et heurte en lui le levier qui doit soulever la porte qui a toujours caché l’espace extérieur. La porte qui a toujours voilé une réalité autre, la porte qui a toujours empêché l’Homme d’être vraiment Homme et d’exercer dans le cosmos les droits qui lui sont naturels. C’est-à-dire les droits qui lui permettent d’engendrer sur son plan les forces nécessaires, lui permettant de créer les conditions nouvelles pour une évolution autre, les droits de communiquer par télépathie non seulement avec les Hommes de la planète, mais aussi avec les Hommes d’autres planètes, non seulement avec les Hommes vivants, mais aussi avec les intelligences immortelles des plans supérieurs. Autrement dit, l’Homme doit reconquérir ce qu’il a perdu, non pas par sa faute, mais parce qu’il y avait déjà dans le cosmos des intelligences qui surveillaient le drame humain et qui veillaient à ce que l’évolution prenne place, telle que prévue dans les grandes conceptions de ces grandes intelligences. Bien que l’Homme ait été meurtri, bien que l’Homme ait souffert, bien que l’Homme ait été retenu, le temps vient où le même Homme ne sera plus fixé à la potence de l’ignorance, mais libéré par ces mêmes forces qui ont cherché, par le passé, à engendrer en lui une fidélité émotive pour des formes essentielles à la croissance de sa civilisation. Il est difficile d’annoncer à l’Homme des choses qui ne sont pas concrètement réalisables par lui aujourd’hui. Mais il est quand même nécessaire d’engendrer en lui suffisamment de force pour lui permettre de dépasser les limites de sa conception de la vie, afin de l’aider petit à petit à surmonter des obstacles de la forme et à dépasser le piège de ses émotions, pour qu’un jour il puisse finalement franchir le mur de l’espace et conquérir les vastes domaines de l’esprit. Car c’est de l’esprit qu’il prend son origine et c’est à l’esprit qu’il doit retourner. Mais cette fois, glorifié dans son corps et puissant de sa volonté sur la matière.